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Couverture d'un exemplaire de la nouvelle revue française de 1920

haï-kaïs

Jean PaulhanPaul-Louis Couchoud

Les haï-kaïs sont des poèmes japonais de trois vers ; le premier vers a cinq pieds, le second sept, le troisième cinq. Il est difficile d'écrire plus court ; l'on dira : moins oratoire. La poésie japonaise de treize siècles tient, à peu près, dans ces miettes.
Basil Hall Chamberlain les appelle épigrammes lyriques. "Lucarne ouverte un instant", dit-il, ou "soupir interrompu avant qu'on l'entende". De toute manière, ce sont des poésies sans explication.
Paul-Louis Couchoud a su les traduire.

Lire le texte original paru dans la NRf de septembre 1920, ainsi que le choix de haï-kaïs (en lecture libre sur Internet Archive)

Voir aussi :

Voir enfin la notice sur les haïku de Bernard Baillaud.