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couverture de la revue Le Spectateur, première année, n° 3, du 1er juin 1909

René Martin-Guelliot à Jean Paulhan, 1913, 1

23.1.1913

Mon cher ami,

Je ne pense pas qu'il y avait des questions à répondre dans votre avant-dernière lettre et la précédente. Je me contente de vous remercier en bloc et de passer à la dernière. D'abord je m'excuse du retard : travail formidable du n° de 90 pages : ça n'a l'air de rien et c'est terrible ; j'en ai tiré la leçon voulue pour l'impossibilité de n° doubles, sauf aide toute spéciale. D'où les fautes d'impression ! J'ai été gêné par les circonstances aussi : appelé à Reims en hâte pour la maladie de la grand-mère de ma femme, puis le deuil, les affaires et occupations de toute sorte... ! Ce qui m'a mené au n° suivant. Je vous écris pendant qu'il est sous presse.
Merci des renseignement pour la traduction : avons-nous quelque chose à faire d'ici l'acceptation. Merci des indications de la [...] : je mettrai l'erratum dans les pages jaunes de ce n° ci : idem p[ou]r les corrections.

A. van Gennep m'a annoncé son départ pour l'Université de Neuchatel (Suisse) : c'est là que [...] le Sp[ectateur] et il ne [me] retourne pas...

Alfred Grandidier, m. de l'I.
74 bis rue du Ranelagh XVIe

Jean Florence a passé sa thèse sur le philosophe ou mystique ou humoriste (un peu des 3) Hamann et sur "Starck et la querelle du crypto-catholicisme en Allemagne 1785-89", il m'a envoyé cette dernière.

Vous avez dû, m'a dit Pareau, recevoir une N.R.F sans doute celle de janvier ; mais pas celle de décembre, je lui demanderai.
J'ai reçu un mot très aimable de Meillet en réponse à mes remerciements pour [le bulletin de] la Sté de L[inguist]ique.

Nos meilleurs vœux bien qu'un peu tardifs, pour vous et madame Jean Paulhan.

Bien à vous,
R.M.G.

Si vous avez une note j'aimerais à la recevoir vers le 8 février.