Germaine Richier
Germaine Richier, née le 16 septembre 1902 à Grans (Bouches-du-Rhône), et morte le 31 juillet 1959 à Montpellier (Hérault), est une sculptrice française.
Ressources
Œuvres de Germaine Richier au Centre Pompidou
Rétrospective Germaine Richier au Centre Pompidou, du 1er mars au 12 juin 2023
Le parcours de l’exposition révèle comment Richier opère une revitalisation de la figure, forgeant après-guerre de nouvelles images de l’homme et de la femme.
Expositions :
Actualités :
- Germaine Richier au sommet – 2022-01-25
Textes parus dans la NRF
Les textes qui suivent, publiés dans La Nouvelle Revue Française, sont regroupés en quatre grands ensembles, les textes de Germaine Richier, les notes et chroniques de l'auteur, les textes sur l'auteur et enfin, s'ils existent, les textes traduits par l'auteur.
Textes sur Germaine Richier
Ces textes peuvent être des études thématiques sur l'auteur, des correspondances, des notes de lecture d'ouvrages de l'auteur ou sur l'auteur, des entretiens menés par lui, ou des ouvrages édités par lui.
- Germaine Richier, par Francis Ponge, 1956-12-01, Chroniques : les arts
- Germaine Richier (Galerie Creuzevault), par Charles Goerg, 1959-08-01, Notes : les arts
- Germaine Richier, par Georges Lambrichs, 1959-09-01, Le temps, comme il passe
Répartition temporelle des textes parus dans la NRf (1908—1968)
On trouvera représenté ici la répartition des textes dans le temps, réunis dans les quatre catégories précédemment définies : Textes, Notes, Traductions, Textes sur la personne.
Textes parus dans les Cahiers de la Pléiade
Les textes qui suivent, publiés dans les Cahiers de la Pléiade, sont regroupés en trois ensembles, les textes de Germaine Richier, les textes traduits par l'auteur et les textes dont il est le sujet.
Textes sur Germaine Richier
Ces textes peuvent être des études thématiques sur l'auteur, des correspondances, des notes de lecture d'ouvrages de l'auteur ou sur l'auteur, ou d'ouvrages traduits par lui.
- Germaine Richier, de Staël, Bazaine, Chagall, par René de Solier, printemps 1950 [208 p.]